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Le temps presse – exigence et défi du changement climatique

Communiqué de presse concernant RKZ Focus du 5 septembre 2022 à Berne

Des impulsions concrètes pour s’engager avec crédibilité et détermination en faveur du développement durable : telle était la mission que la Conférence centrale s’était donnée pour la rencontre nationale de réseautage 2022. Au cours de différents ateliers, des décideuses et décideurs et des responsables de projet issus de l’économie, de la politique et de l’Eglise ont partagé leurs expériences avec la centaine de participant-e-s. Il en est ressorti un bilan unanime : comme les organisations ecclésiastiques for-ment une communauté sous l’égide de la Conférence centrale et agissent au-delà des frontières canto-nales, elles peuvent décupler les forces. Ce potentiel doit être encore mieux exploité à l’avenir.

Communiqué de presse du 14 septembre 2022

Documentation au sujet des ateliers, des impulsions concrètes et à la presentation de Martine Rebetez



Que ressentez-vous pour l’Eglise ? Une approche œcuménique unique pour le Jeûne fédéral

Communiqué de presse du 13 septembre 2022

Quelle est la position des Suissesses et des Suisses à l’égard de I’Eglise ? Pourquoi et comment croient-ils ? Un supplément de la Schweizer Illustrierte et de l’Illustré se penche sur ces questions à l’occasion de la Journée fédérale de repentance et de jeûne, porté conjointement par les deux grandes Eglises nationales. Des personnalités de toute la Suisse témoignent du rôle que joue l’Eglise dans leur vie. 

Claude-Inga Barbey, Daniel Koch, Jean-François Steiert. Trois personnalités représentant les nombreuses figures de l’économie, de la politique, de la culture et de la société répondent à la question épineuse « Pourquoi l’Eglise ? » du supplément du même nom. L’ancien conseiller fédéral Pascal Couchepin et Rita Famos, présidente de l’Eglise évangélique réformée de Suisse, cherchent dans une grande interview les points de convergence entre l’Eglise et l’Etat.

Christina Aus der Au, présidente du Conseil synodal de l’Eglise réformée de Thurgovie et Laure-Christine Grandjean, chancelière du diocèse de Lausanne-Genève-Fribourg, révèlent ce que prier signifie pour elles. Le cahier spécial fournit en outre des réponses communes et spécifiques aux réformés et aux catholiques sur des questions religieuses. Il en résulte une publication riche et colorée. Elle laisse entrevoir le lien du cœur de Suissesses et de Suisses avec l’Eglise. La conception rédactionnelle a été réalisée par l’Illustré et, en Suisse alémanique, par la Schweizer Illustrierte. La Conférence centrale catholique romaine et l’Eglise évangélique réformée de Suisse ont collaboré à ce projet par-delà les frontières linguistiques, sur le plan des idées, des finances et du personnel.  

Hella Hoppe, Eglise évangélique réformée de Suisse
Daniel Kosch, Conférence centrale catholique romaine
Werner De Schepper, auteur, l’Illustré


Contact

Conférence centrale catholique romaine, T +41 44 266 12 01, daniel.kosch@rkz.ch 

Eglise évanglique réformée de Suisse, T +41 31 370 25 57, dominic.waegli@evref.ch

L’Illustré, T +41 79 668 15 41, werner.de.schepper(at)schweizer-illustrierte.ch



« Cath+ » : l'Eglise catholique dans votre poche

Communiqué de presse de Cath-Info du 22 août 2022

Lancée le 22 août, l’app « cath+ » permet de suivre l’actualité catholique sur son smartphone. Cette application gratuite, disponible pour des appareils fonctionnant avec Android et iOS, est conçue par les centres catholiques des médias en Suisse. En vue d’améliorer son offre, cath+ sera développée dans les mois à venir.

« cath+ » vous offre l'accès aux nouvelles du portail catholique cath.ch, à la chaîne Youtube de cath.ch, aux vidéos et aux audios de la rédaction "RTSreligion" à la Radio Télévision Suisse ainsi qu’à l'offre des sites germanophone (kath.ch) et italophone (catt.ch).

Plus simple : en quelques clics, vous accédez directement aux nouvelles concernant l'Eglise catholique en Suisse, dans le monde et au Vatican. Des nouvelles produites par les Centres de médias catholiques de Lausanne, Zurich et Lugano.

Plus complète : cath+ permet aussi l'accès aux contenus produits en partenariat avec la Radio Télévision Suisse et Médias-pro sous le label RTSreligion, des audios et des vidéos d'émissions tels que "Babel", "Hautes fréquences" ou encore "Messe". Ainsi que des productions digitales originales.

Plus souple : cath+ offre une expérience de navigation plus conviviale que ne peuvent l’offrir les sites internet actuels. Elle sera plus attentive à vos affinités linguistiques ou thématiques. Et cette souplesse augmentera à mesure que l’app sera mise à jour.

La conception de cette application a renforcé la collaboration entre les centres catholiques des médias à Lugano, Zurich et Lausanne. Pour mieux répondre aux exigences des lecteurs, le développement de cath+ se poursuivra en vue d’en améliorer ses services.

Pour plus d'informations : www.cath.ch/app-catholique-pour-la-suisse-cath-news-play

- Fabien Hünenberger, directeur de Cath-Info, 021 654 45 55, direction(at)cath-info.ch
- Bernard Hallet, rédacteur en chef de cath.ch, 021 654 45 50, bernard.hallet(at)cath.ch



© Christian Merz

Une étape franchie, même si beaucoup reste à faire

Communiqué de presse de la RKZ du 18. août 2022 concernant la publication du Rapport suisse pour le Synode des évêques 2023

La publication du Rapport suisse pour le Synode des évêques et sa remise au secrétariat du Synode des évêques à Rome marquent une étape importante dans le processus synodal 2021-2023 : un nombre incalculable de discussions de groupes, de réponses à des questionnaires, de prières, de séances et d’échanges divers ont permis aux fidèles de s’écouter mutuellement et de traduire en mots l’esprit qui règne dans les paroisses. Il en ressort une brève synthèse d’une douzaine de pages.

Un état des lieux sincère et autocritique

Du point de vue d’une observatrice ou d’un observateur, le document laisse l’impression d’une description très sincère et autocritique quant à une situation globale extrêmement complexe. Il n’est pas question d’enjoliver ou de minimiser la réalité : on peine à entrevoir un domaine où les choses « tournent rond ». Il n’existe quasiment aucun champ pastoral qui enregistre une avancée dans la découverte de l’Evangile dans le monde. Nombreux sont les chantiers qui concernent non seulement l’Eglise locale, les domaines d’activité de la Conférence des évêques et les structures ecclésiales, mais aussi la doctrine de l’Eglise dans son ensemble, incluant Rome et le pape. Dans une telle situation, continuer à procéder de manière « synodale », soit à faire route ensemble, représente un défi de taille, un pari sans garantie de succès, qu’il s’agit de relever avec une confiance mutuelle et avec confiance en Dieu.

Un mandat conféré à la Conférence centrale

La Conférence centrale catholique romaine de Suisse s’entretient depuis longtemps avec la Conférence des évêques au sujet de ces questions. Elle a été impliquée dans la rédaction du rapport synodal et sa présidente, Renata Asal-Steger, a reçu les résultats de l’assemblée synodale à Einsiedeln simultanément au président de la Conférence des évêques. C’est pourquoi Renata Asal-Steger affirme : « Je comprends notamment ce rapport comme un mandat confié à la Conférence centrale. Grâce à leurs structures démocratiques, les corporations de droit public ecclésiastique peuvent contribuer à la „ prise de décisions en commun “ et étendre la coresponsabilité des femmes dans l’Eglise. » Fort de son expérience en tant qu’observateur de la Voie synodale en Allemagne et de l’évolution globale, le secrétaire général Daniel Kosch ajoute : « Si le système dual ne peut pas être reproduit tel quel dans d’autres pays, il présente toutefois des caractéristiques exemplaires, concernant p. ex. l’administration des finances ou la coopération sous forme de décisions consensuelles ». A maintes reprises, le rapport rend hommage au système dual, ce qui réjouit la Conférence centrale.

Participation des personnes laïques et réseautage avec d’autres Eglises locales durant la phase continentale

Les processus synodaux à l’échelon local, diocésain et national font désormais place à la phase continentale. A cet échelon également, il s’agit de s’écouter mutuellement, de décider ensemble et de développer des perspectives d’action : comment l’Eglise peut-elle agir en Europe ? Que peut-elle apporter à l’Eglise universelle afin d’accroître la synodalité, la crédibilité et l’attrait de l’Eglise à l’intérieur et à l’extérieur ? Selon Daniel Kosch, « Dans les rapports d’autres pays, les auteurs formulent souvent des objectifs de réforme similaires. Il importe à présent de mettre en lumière ces points communs et d’œuvrer énergiquement afin que le Synode des évêques 2023 en tienne compte. » La Conférence centrale peut soutenir la Conférence des évêques suisses sur cette question. Renata Asal-Steger précise : « Pour certains réseaux de femmes, il n’est pas concevable que seuls les évêques aient la parole à l’échelon continental et à celui de l’Eglise universelle, car cela est contraire à l’objectif fondamental de la synodalité. Le processus ne peut rester crédible et sérieux qu’à condition d’associer les femmes aux étapes suivantes ».

Nécessité de renforcer sensiblement la synodalité en Suisse aussi

Les processus diocésains, l’assemblée synodale à Einsiedeln, le 50e anniversaire du Synode 72 et la poursuite immédiate du travail au sein de plusieurs diocèses libèrent des énergies que nous devons exploiter maintenant. C’est pourquoi la Conférence centrale se félicite du fait que les évêques aient instauré un groupe de travail en vue de traiter cette thématique, en collaboration avec la Conférence centrale. Lors des prochaines séances de la présidence et de l’assemblée plénière de la Conférence centrale, il s’agira donc d’examiner le Rapport synodal de manière approfondie et de se mettre d’accord sur les prochaines étapes. En effet, comme en toute chose, les voies synodales commencent par un premier pas, suivi d’innombrables étapes ultérieures. Une phase importante est désormais achevée avec la publication du rapport synodal.

Pour tout renseignement complémentaire, prière de prendre contact avec Daniel Kosch, secrétaire général de la Conférence centrale : Tél. : 044 266 12 01, e-mail : daniel.kosch(at)rkz.ch



« Nous devons incarner le changement que nous souhaitons voir dans l’Eglise »

Communiqué de presse concernant la cérémonie d’ouverture pour les 50 ans de la Conférence centrale et assemblée plénière des 24 et 25 juin 2022

« En avant. Ensemble. » : tel est le slogan des 50 ans de la Conférence centrale, que l’organisation faîtière des organisations ecclésiastiques cantonales de l’Eglise catholique en Suisse, fondée en 1971, fête en 2022 avec un an de retard et donc en même temps que le 50e anniversaire du Synode ’72. Lors de cet événement mémorable, de nombreux jalons ont été posés, en pensée, en paroles et en pratique.

Communiqué de presse du 29 juin 2022

Exposé de la Sœur Philippa Rath, OSB

Impressions de la cérémonie d'ouverture - Galerie de photographies

Cinq décennies – cinq accents : Série de vidéos consacrées à l’histoire de la Conférence centrale



Cinq décennies – cinq accents

Série de vidéos consacrées à l’histoire de la Conférence centrale

[Translate to französisch:]

Lancement d’un projet pilote sur les abus dans l’Église, résultats à l’automne 2023

Communiqué de presse de la CES, de la Conférence centrale et de la KOVOS

L’Église catholique suisse se dote d’un projet pilote pour affronter un chapitre sombre : à sa demande, en effet, une équipe de recherche de l’Université de Zurich a entamé une enquête scientifique sur les abus sexuels dans le contexte de l’Église catholique. À cette fin, les archives secrètes épiscopales seront également ouvertes dans les prochains mois. Cette annonce a été faite le 4 avril 2022 lors d’une conférence de presse à Lausanne.

La Conférence des évêques suisses (CES), la Conférence centrale catholique romaine de Suisse (RKZ) et la Conférence des unions des ordres religieux et autres communautés de vie consacrée (KOVOS) ont confié à Monika Dommann et Marietta Meier, professeures au Département d’histoire de l’Université de Zurich, le mandat de réaliser un projet pilote. En l’espace d’un an, l’équipe de recherche doit évaluer les conditions générales d’une étude historique des abus sexuels dans le contexte ecclésial depuis le milieu du 20e siècle et fournir ainsi des bases pour d’autres projets de recherche. Les résultats seront présentés à l’automne 2023.

Communiqué de presse des organisations mandantes CES, RKZ et KOVOS 

Communiqué de presse de l’équipe de recherche, déclarations des organisations mandantes et des organisations de personnes concernées ainsi que d’autres informations sur le projet pilote : www.abus-cath-info.ch



© Christian Merz

En avant. Ensemble : la Conférence centrale fête ses 50 ans d’existence et élit Urs Brosi comme nouveau secrétaire général

Communiqué de presse concernant l’assemblée plénière de la Conférence centrale des 25 et 26 mars 2022 à Näfels/Filzbach

Pour la première fois depuis 50 ans, une manifestation commune a réuni les délégué-e-s de la Conférence centrale et les membres de la Conférence des évêques suisses. Lors de sa séance statutaire, la Conférence centrale a élu Urs Brosi comme nouveau secrétaire général. En outre, elle s’est penchée sur les conséquences de l’étude sur l’avenir du financement ecclésial pour l’Eglise catholique suisse.

Communiqué de presse du 1er avril 2022

 



Urs Brosi élu secrétaire général de la Conférence centrale (RKZ)

Communiqué de presse de la Conférence centrale du 26 mars 2022

Lors de leur assemblée plénière des 25 et 26 mars 2022, les délégués de la Conférence centrale catholique romaine de Suisse (RKZ) ont élu à l’unanimité le théologien et spécialiste du droit canonique Urs Brosi comme secrétaire général de la Conférence centrale. Il succédera le 1er décembre 2022 à Daniel Kosch, qui occupait cette fonction depuis 2001 et qui se retire pour raison d'âge.

Avant son élection, Urs Brosi a précisé qu'il n'était «pas un vendeur qui présente l’Eglise de manière super-géniale». Pour lui, il est plus important "que nous soyons crédibles, que l'Eglise pense et parle de manière théologiquement honnête, que nous vivions à l'intérieur ce que nous annonçons à l'extérieur».

Au nom de la présidence de la Conférence centrale, Renata Asal-Steger a félicité le futur secrétaire général pour son élection. En tant que représentant de longue date de l'Eglise cantonale de Thurgovie et membre de divers organismes au sein de la Conférence centrale et du cofinancement CES-RKZ, Urs Brosi est déjà familiarisé avec les défis et les tâches concrètes qui l'attendent. En conséquence, Renata Asal-Steger a relevé : «C'est une bonne chose que la continuité soit assurée avec l'élection d'Urs Brosi. En même temps, nous nous réjouissons des nouvelles impulsions et du fait qu'il apportera de nouvelles idées et contribuera à façonner le visage de la Conférence centrale».


Urs Brosi (1965) a grandi à Bâle. Après sa maturité, il a étudié la philosophie à Munich et la théologie catholique à Lucerne et à Rome. Après le cours pastoral, il a travaillé quatre ans comme assistant pastoral dans la paroisse de la Trinité à Berne. Il s'est spécialisé en droit canonique à l'université de Münster et a ensuite été assistant scientifique pendant cinq ans à la chaire de droit canonique et de droit public ecclésiastique de l'université de Lucerne. Pendant deux ans, il a travaillé comme responsable de la formation du diocèse de Bâle pour la formation continue des collaborateurs en l'Église. Depuis 2008, il est secrétaire général de l'Église nationale catholique du canton de Thurgovie. En cette qualité, il a jusqu'ici représenté l'Eglise cantonale de Thurgovie au sein de la Conférence centrale et s'est engagé dans des organes de la Conférence centrale et du cofinancement CES-RKZ. 

Au sein de l'Eglise nationale de Thurgovie, il a notamment participé au développement d'une nouvelle péréquation financière et à l'élaboration d'une nouvelle constitution de l'Eglise nationale, ainsi qu'à la construction d'un centre de l'Eglise nationale à Weinfelden. Il est également juge diocésain dans le diocèse de Bâle et a travaillé pendant 20 ans au service de l'aumônerie de l'armée.



Urs Brosi proposé au poste de secrétaire général de la Conférence centrale

Communiqué de presse de la Conférence centrale du 10 janvier 2022

Le théologien et canoniste de 56 ans Urs Brosi est appelé à devenir le nouveau secrétaire général de la Conférence centrale catholique romaine de Suisse le 1er décembre 2022. La présidence de la Conférence centrale proposera son élection à l’assemblée plénière des 25 et 26 mars 2022. Urs Brosi succédera à Daniel Kosch, qui occupe ce poste depuis 2001 et prendra sa retraite à la fin de l’année.

La présidence de la Conférence centrale a décidé de proposer à l’assemblée plénière des 25 et 26 mars 2022 d’élire Urs Brosi, diplômé en théologie, licencié en droit canon, au poste de secrétaire général. Si l’assemblée plénière confirme cette élection, Urs Brosi rejoindra la Conférence centrale le 1er novembre 2022 et succédera à Daniel Kosch le 1er décembre 2022.

Après l’obtention de la maturité fédérale au gymnase de Bâle, Urs Brosi (*1965) a étudié la philosophie, la théologie et le droit canonique à Munich, Lucerne, Rome, Bâle et Münster i.W. Il a acquis des expériences professionnelles dans la pastorale paroissiale avant d’occuper le poste d’assistant scientifique à l’Université de Lucerne puis celui de responsable de la formation au diocèse de Bâle. Depuis 2008, Urs Brosi est le secrétaire général et le directeur de l’Eglise nationale catholique du canton de Thurgovie. A cela viennent s’ajouter ses activités accessoires en tant que chargé de cours de droit canon et de droit public ecclésiastique, juge diocésain et expert, ainsi que des fonctions dirigeantes au sein de l’aumônerie de l’armée.

En sa qualité de président du Groupe spécialisé 2 (domaine de tâches : activités médiatiques à l’échelon régional), membre de la Commission de planification et de financement CES-Conférence centrale et membre de la Commission du droit public ecclésiastique et du droit régissant la religion, Urs Brosi est déjà une personnalité bien connue des délégué-e-s à la Conférence centrale et des organismes paritaires CES-Conférence centrale.

En portant son choix sur Urs Brosi, la présidence de la Conférence centrale a la conviction de proposer un candidat au bénéfice de qualifications exceptionnelles et d’une vaste expérience professionnelle.

Parallèlement aux tâches à accomplir au service de la Conférence centrale dans son rôle de faîtière des organisations ecclésiastiques cantonales en Suisse, le nouveau secrétaire général assumera également la conduite des organismes communs de la CES et de la Conférence centrale, qui se chargent notamment du cofinancement des tâches pastorales de l’Eglise catholique à l’échelon national et à celui des régions linguistiques. Cette coopération entre la CES et la Conférence centrale est régie par une convention de collaboration conclue en 2015 ainsi que par d’autres réglementations contractuelles.

Curriculum vitae de Urs Brosi



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