Menu
Médias 

Médias

« Cath+ » : l'Eglise catholique dans votre poche

Communiqué de presse de Cath-Info du 22 août 2022

Lancée le 22 août, l’app « cath+ » permet de suivre l’actualité catholique sur son smartphone. Cette application gratuite, disponible pour des appareils fonctionnant avec Android et iOS, est conçue par les centres catholiques des médias en Suisse. En vue d’améliorer son offre, cath+ sera développée dans les mois à venir.

« cath+ » vous offre l'accès aux nouvelles du portail catholique cath.ch, à la chaîne Youtube de cath.ch, aux vidéos et aux audios de la rédaction "RTSreligion" à la Radio Télévision Suisse ainsi qu’à l'offre des sites germanophone (kath.ch) et italophone (catt.ch).

Plus simple : en quelques clics, vous accédez directement aux nouvelles concernant l'Eglise catholique en Suisse, dans le monde et au Vatican. Des nouvelles produites par les Centres de médias catholiques de Lausanne, Zurich et Lugano.

Plus complète : cath+ permet aussi l'accès aux contenus produits en partenariat avec la Radio Télévision Suisse et Médias-pro sous le label RTSreligion, des audios et des vidéos d'émissions tels que "Babel", "Hautes fréquences" ou encore "Messe". Ainsi que des productions digitales originales.

Plus souple : cath+ offre une expérience de navigation plus conviviale que ne peuvent l’offrir les sites internet actuels. Elle sera plus attentive à vos affinités linguistiques ou thématiques. Et cette souplesse augmentera à mesure que l’app sera mise à jour.

La conception de cette application a renforcé la collaboration entre les centres catholiques des médias à Lugano, Zurich et Lausanne. Pour mieux répondre aux exigences des lecteurs, le développement de cath+ se poursuivra en vue d’en améliorer ses services.

Pour plus d'informations : www.cath.ch/app-catholique-pour-la-suisse-cath-news-play

- Fabien Hünenberger, directeur de Cath-Info, 021 654 45 55, direction(at)cath-info.ch
- Bernard Hallet, rédacteur en chef de cath.ch, 021 654 45 50, bernard.hallet(at)cath.ch



© Christian Merz

Une étape franchie, même si beaucoup reste à faire

Communiqué de presse de la RKZ du 18. août 2022 concernant la publication du Rapport suisse pour le Synode des évêques 2023

La publication du Rapport suisse pour le Synode des évêques et sa remise au secrétariat du Synode des évêques à Rome marquent une étape importante dans le processus synodal 2021-2023 : un nombre incalculable de discussions de groupes, de réponses à des questionnaires, de prières, de séances et d’échanges divers ont permis aux fidèles de s’écouter mutuellement et de traduire en mots l’esprit qui règne dans les paroisses. Il en ressort une brève synthèse d’une douzaine de pages.

Un état des lieux sincère et autocritique

Du point de vue d’une observatrice ou d’un observateur, le document laisse l’impression d’une description très sincère et autocritique quant à une situation globale extrêmement complexe. Il n’est pas question d’enjoliver ou de minimiser la réalité : on peine à entrevoir un domaine où les choses « tournent rond ». Il n’existe quasiment aucun champ pastoral qui enregistre une avancée dans la découverte de l’Evangile dans le monde. Nombreux sont les chantiers qui concernent non seulement l’Eglise locale, les domaines d’activité de la Conférence des évêques et les structures ecclésiales, mais aussi la doctrine de l’Eglise dans son ensemble, incluant Rome et le pape. Dans une telle situation, continuer à procéder de manière « synodale », soit à faire route ensemble, représente un défi de taille, un pari sans garantie de succès, qu’il s’agit de relever avec une confiance mutuelle et avec confiance en Dieu.

Un mandat conféré à la Conférence centrale

La Conférence centrale catholique romaine de Suisse s’entretient depuis longtemps avec la Conférence des évêques au sujet de ces questions. Elle a été impliquée dans la rédaction du rapport synodal et sa présidente, Renata Asal-Steger, a reçu les résultats de l’assemblée synodale à Einsiedeln simultanément au président de la Conférence des évêques. C’est pourquoi Renata Asal-Steger affirme : « Je comprends notamment ce rapport comme un mandat confié à la Conférence centrale. Grâce à leurs structures démocratiques, les corporations de droit public ecclésiastique peuvent contribuer à la „ prise de décisions en commun “ et étendre la coresponsabilité des femmes dans l’Eglise. » Fort de son expérience en tant qu’observateur de la Voie synodale en Allemagne et de l’évolution globale, le secrétaire général Daniel Kosch ajoute : « Si le système dual ne peut pas être reproduit tel quel dans d’autres pays, il présente toutefois des caractéristiques exemplaires, concernant p. ex. l’administration des finances ou la coopération sous forme de décisions consensuelles ». A maintes reprises, le rapport rend hommage au système dual, ce qui réjouit la Conférence centrale.

Participation des personnes laïques et réseautage avec d’autres Eglises locales durant la phase continentale

Les processus synodaux à l’échelon local, diocésain et national font désormais place à la phase continentale. A cet échelon également, il s’agit de s’écouter mutuellement, de décider ensemble et de développer des perspectives d’action : comment l’Eglise peut-elle agir en Europe ? Que peut-elle apporter à l’Eglise universelle afin d’accroître la synodalité, la crédibilité et l’attrait de l’Eglise à l’intérieur et à l’extérieur ? Selon Daniel Kosch, « Dans les rapports d’autres pays, les auteurs formulent souvent des objectifs de réforme similaires. Il importe à présent de mettre en lumière ces points communs et d’œuvrer énergiquement afin que le Synode des évêques 2023 en tienne compte. » La Conférence centrale peut soutenir la Conférence des évêques suisses sur cette question. Renata Asal-Steger précise : « Pour certains réseaux de femmes, il n’est pas concevable que seuls les évêques aient la parole à l’échelon continental et à celui de l’Eglise universelle, car cela est contraire à l’objectif fondamental de la synodalité. Le processus ne peut rester crédible et sérieux qu’à condition d’associer les femmes aux étapes suivantes ».

Nécessité de renforcer sensiblement la synodalité en Suisse aussi

Les processus diocésains, l’assemblée synodale à Einsiedeln, le 50e anniversaire du Synode 72 et la poursuite immédiate du travail au sein de plusieurs diocèses libèrent des énergies que nous devons exploiter maintenant. C’est pourquoi la Conférence centrale se félicite du fait que les évêques aient instauré un groupe de travail en vue de traiter cette thématique, en collaboration avec la Conférence centrale. Lors des prochaines séances de la présidence et de l’assemblée plénière de la Conférence centrale, il s’agira donc d’examiner le Rapport synodal de manière approfondie et de se mettre d’accord sur les prochaines étapes. En effet, comme en toute chose, les voies synodales commencent par un premier pas, suivi d’innombrables étapes ultérieures. Une phase importante est désormais achevée avec la publication du rapport synodal.

Pour tout renseignement complémentaire, prière de prendre contact avec Daniel Kosch, secrétaire général de la Conférence centrale : Tél. : 044 266 12 01, e-mail : daniel.kosch(at)rkz.ch



« Nous devons incarner le changement que nous souhaitons voir dans l’Eglise »

Communiqué de presse concernant la cérémonie d’ouverture pour les 50 ans de la Conférence centrale et assemblée plénière des 24 et 25 juin 2022

« En avant. Ensemble. » : tel est le slogan des 50 ans de la Conférence centrale, que l’organisation faîtière des organisations ecclésiastiques cantonales de l’Eglise catholique en Suisse, fondée en 1971, fête en 2022 avec un an de retard et donc en même temps que le 50e anniversaire du Synode ’72. Lors de cet événement mémorable, de nombreux jalons ont été posés, en pensée, en paroles et en pratique.

Communiqué de presse du 29 juin 2022

Exposé de la Sœur Philippa Rath, OSB

Impressions de la cérémonie d'ouverture - Galerie de photographies

Cinq décennies – cinq accents : Série de vidéos consacrées à l’histoire de la Conférence centrale



Cinq décennies – cinq accents

Série de vidéos consacrées à l’histoire de la Conférence centrale

[Translate to französisch:]

Lancement d’un projet pilote sur les abus dans l’Église, résultats à l’automne 2023

Communiqué de presse de la CES, de la Conférence centrale et de la KOVOS

L’Église catholique suisse se dote d’un projet pilote pour affronter un chapitre sombre : à sa demande, en effet, une équipe de recherche de l’Université de Zurich a entamé une enquête scientifique sur les abus sexuels dans le contexte de l’Église catholique. À cette fin, les archives secrètes épiscopales seront également ouvertes dans les prochains mois. Cette annonce a été faite le 4 avril 2022 lors d’une conférence de presse à Lausanne.

La Conférence des évêques suisses (CES), la Conférence centrale catholique romaine de Suisse (RKZ) et la Conférence des unions des ordres religieux et autres communautés de vie consacrée (KOVOS) ont confié à Monika Dommann et Marietta Meier, professeures au Département d’histoire de l’Université de Zurich, le mandat de réaliser un projet pilote. En l’espace d’un an, l’équipe de recherche doit évaluer les conditions générales d’une étude historique des abus sexuels dans le contexte ecclésial depuis le milieu du 20e siècle et fournir ainsi des bases pour d’autres projets de recherche. Les résultats seront présentés à l’automne 2023.

Communiqué de presse des organisations mandantes CES, RKZ et KOVOS 

Communiqué de presse de l’équipe de recherche, déclarations des organisations mandantes et des organisations de personnes concernées ainsi que d’autres informations sur le projet pilote : www.abus-cath-info.ch



© Christian Merz

En avant. Ensemble : la Conférence centrale fête ses 50 ans d’existence et élit Urs Brosi comme nouveau secrétaire général

Communiqué de presse concernant l’assemblée plénière de la Conférence centrale des 25 et 26 mars 2022 à Näfels/Filzbach

Pour la première fois depuis 50 ans, une manifestation commune a réuni les délégué-e-s de la Conférence centrale et les membres de la Conférence des évêques suisses. Lors de sa séance statutaire, la Conférence centrale a élu Urs Brosi comme nouveau secrétaire général. En outre, elle s’est penchée sur les conséquences de l’étude sur l’avenir du financement ecclésial pour l’Eglise catholique suisse.

Communiqué de presse du 1er avril 2022

 



Urs Brosi élu secrétaire général de la Conférence centrale (RKZ)

Communiqué de presse de la Conférence centrale du 26 mars 2022

Lors de leur assemblée plénière des 25 et 26 mars 2022, les délégués de la Conférence centrale catholique romaine de Suisse (RKZ) ont élu à l’unanimité le théologien et spécialiste du droit canonique Urs Brosi comme secrétaire général de la Conférence centrale. Il succédera le 1er décembre 2022 à Daniel Kosch, qui occupait cette fonction depuis 2001 et qui se retire pour raison d'âge.

Avant son élection, Urs Brosi a précisé qu'il n'était «pas un vendeur qui présente l’Eglise de manière super-géniale». Pour lui, il est plus important "que nous soyons crédibles, que l'Eglise pense et parle de manière théologiquement honnête, que nous vivions à l'intérieur ce que nous annonçons à l'extérieur».

Au nom de la présidence de la Conférence centrale, Renata Asal-Steger a félicité le futur secrétaire général pour son élection. En tant que représentant de longue date de l'Eglise cantonale de Thurgovie et membre de divers organismes au sein de la Conférence centrale et du cofinancement CES-RKZ, Urs Brosi est déjà familiarisé avec les défis et les tâches concrètes qui l'attendent. En conséquence, Renata Asal-Steger a relevé : «C'est une bonne chose que la continuité soit assurée avec l'élection d'Urs Brosi. En même temps, nous nous réjouissons des nouvelles impulsions et du fait qu'il apportera de nouvelles idées et contribuera à façonner le visage de la Conférence centrale».


Urs Brosi (1965) a grandi à Bâle. Après sa maturité, il a étudié la philosophie à Munich et la théologie catholique à Lucerne et à Rome. Après le cours pastoral, il a travaillé quatre ans comme assistant pastoral dans la paroisse de la Trinité à Berne. Il s'est spécialisé en droit canonique à l'université de Münster et a ensuite été assistant scientifique pendant cinq ans à la chaire de droit canonique et de droit public ecclésiastique de l'université de Lucerne. Pendant deux ans, il a travaillé comme responsable de la formation du diocèse de Bâle pour la formation continue des collaborateurs en l'Église. Depuis 2008, il est secrétaire général de l'Église nationale catholique du canton de Thurgovie. En cette qualité, il a jusqu'ici représenté l'Eglise cantonale de Thurgovie au sein de la Conférence centrale et s'est engagé dans des organes de la Conférence centrale et du cofinancement CES-RKZ. 

Au sein de l'Eglise nationale de Thurgovie, il a notamment participé au développement d'une nouvelle péréquation financière et à l'élaboration d'une nouvelle constitution de l'Eglise nationale, ainsi qu'à la construction d'un centre de l'Eglise nationale à Weinfelden. Il est également juge diocésain dans le diocèse de Bâle et a travaillé pendant 20 ans au service de l'aumônerie de l'armée.



Urs Brosi proposé au poste de secrétaire général de la Conférence centrale

Communiqué de presse de la Conférence centrale du 10 janvier 2022

Le théologien et canoniste de 56 ans Urs Brosi est appelé à devenir le nouveau secrétaire général de la Conférence centrale catholique romaine de Suisse le 1er décembre 2022. La présidence de la Conférence centrale proposera son élection à l’assemblée plénière des 25 et 26 mars 2022. Urs Brosi succédera à Daniel Kosch, qui occupe ce poste depuis 2001 et prendra sa retraite à la fin de l’année.

La présidence de la Conférence centrale a décidé de proposer à l’assemblée plénière des 25 et 26 mars 2022 d’élire Urs Brosi, diplômé en théologie, licencié en droit canon, au poste de secrétaire général. Si l’assemblée plénière confirme cette élection, Urs Brosi rejoindra la Conférence centrale le 1er novembre 2022 et succédera à Daniel Kosch le 1er décembre 2022.

Après l’obtention de la maturité fédérale au gymnase de Bâle, Urs Brosi (*1965) a étudié la philosophie, la théologie et le droit canonique à Munich, Lucerne, Rome, Bâle et Münster i.W. Il a acquis des expériences professionnelles dans la pastorale paroissiale avant d’occuper le poste d’assistant scientifique à l’Université de Lucerne puis celui de responsable de la formation au diocèse de Bâle. Depuis 2008, Urs Brosi est le secrétaire général et le directeur de l’Eglise nationale catholique du canton de Thurgovie. A cela viennent s’ajouter ses activités accessoires en tant que chargé de cours de droit canon et de droit public ecclésiastique, juge diocésain et expert, ainsi que des fonctions dirigeantes au sein de l’aumônerie de l’armée.

En sa qualité de président du Groupe spécialisé 2 (domaine de tâches : activités médiatiques à l’échelon régional), membre de la Commission de planification et de financement CES-Conférence centrale et membre de la Commission du droit public ecclésiastique et du droit régissant la religion, Urs Brosi est déjà une personnalité bien connue des délégué-e-s à la Conférence centrale et des organismes paritaires CES-Conférence centrale.

En portant son choix sur Urs Brosi, la présidence de la Conférence centrale a la conviction de proposer un candidat au bénéfice de qualifications exceptionnelles et d’une vaste expérience professionnelle.

Parallèlement aux tâches à accomplir au service de la Conférence centrale dans son rôle de faîtière des organisations ecclésiastiques cantonales en Suisse, le nouveau secrétaire général assumera également la conduite des organismes communs de la CES et de la Conférence centrale, qui se chargent notamment du cofinancement des tâches pastorales de l’Eglise catholique à l’échelon national et à celui des régions linguistiques. Cette coopération entre la CES et la Conférence centrale est régie par une convention de collaboration conclue en 2015 ainsi que par d’autres réglementations contractuelles.

Curriculum vitae de Urs Brosi



Le contrat relatif au projet-pilote d’étude de l’histoire des abus sexuels dans le contexte ecclésial catholique romaine en Suisse est signé

Communiqué de presse de la CES/RKZ/KOVOS du 6 décembre 2021

D’innombrables personnes ont enduré de profondes souffrances liées aux abus sexuels dans le contexte de l’Église catholique-romaine. Un travail de mémoire scientifique est dû en premier lieu aux victimes – mais permettra également d’en tirer des leçons pour l’avenir. La Conférence des évêques suisses (CES), la Conférence des Unions des Ordres et autres communautés de vie consacrée (KOVOS) et la Conférence centrale catholique romaine de Suisse (RKZ) ont mandaté l’Université de Zurich pour une étude sur l’histoire de l’exploitation sexuelle dans le contexte ecclésial catholique en Suisse depuis la moitié du 20e siècle. Le contrat correspondant a été signé en novembre 2021. Dans une prochaine étape, les directrices du projet constitueront une équipe de recherche et établiront la procédure à suivre. Le lancement effectif du projet est prévu pour mars 2022. C’est à ce moment que les mandantes et les chercheurs seront en mesure de donner une information détaillée sur le projet.

Le mandat est une étape importante pour le travail de mémoire sur la question des abus sexuels dans le contexte de l’Église catholique-romaine de Suisse.

Une équipe de recherche du séminaire d’histoire de l’Université de Zurich (UZH) est chargée de mener une étude historique indépendante. Il s’agit d’un projet-pilote : l’étude doit évaluer les conditions-cadres d’un travail de mémoire historique sur l’exploitation sexuelle dans le contexte ecclésial depuis la moitié du 20e siècle et servir ainsi de base à de futurs projets de recherche. La direction du projet incombe aux professeures Monika Dommann et Marietta Meier. Un comité scientifique nommé par la Société suisse d’histoire (SSH) garantira la qualité scientifique et l’indépendance du projet.

Le mandat attribué à l’UZH et à la SSH exclut toute prise d’influence sur le projet-pilote aussi bien par les mandantes que par des tiers. Les mandantes sont convaincues de la nécessité de cette indépendance pour rendre justice aux victimes. Cette étude-pilote doit aussi démontrer comment tenir compte des voix des victimes dans de futures études.

Maintenant que les contrats sont signés, une équipe de recherche sera constituée. Dès que ce sera fait et que le travail de recherche pourra commencer, il y aura une large information sur le projet en mars 2022. Ensuite, les médias et l’opinion publique ne seront informés à nouveau qu’au moment des résultats de l’étude, afin de garantir l’indépendance scientifique de celle-ci et la tranquillité du travail de recherche. Les résultats de l’étude feront l’objet d’un rapport final qui paraîtra en allemand, en français et en italien et sur la base duquel les mandantes décideront de la suite à donner. 

Contact :

Stefan Loppacher, co-responsable du secrétariat de la commission d’experts « Abus sexuels dans le contexte ecclésial » de la Conférence des évêques suisses, tél. 079 301 58 67, courriel stefan.loppacher(at)fgsbk.ch.

Annexe :

Quatre questions à Mgr Joseph Maria Bonnemain, évêque de Coire, répondant de la Conférence des évêques suisses pour la commission d’experts « Abus sexuels dans le contexte ecclésial ». Avant sa nomination en tant qu’évêque, il a été secrétaire de la commission d’experts de 2002 à 2021. 

Informations de la Société suisse d’histoire (SSH) sur le projet :

https://www.abuscontexteecclesial.ch/

Les contrats de la CES/RKZ/KOVOS avec l’Université de Zurich ainsi qu’avec la SSH sont désormais libres d’accès sur ce site.

Informations des professeures Monika Dommann et Marietta Meier sur le projet : 

Le site internet du projet de Monika Dommann

Le site internet du projet de Marietta Meier



Engagement renforcé en faveur de l’aumônerie dans les services de santé et sur Internet

Communiqué de presse concernant l’assemblée plénière de la Conférence centrale des 26 et 27 novembre 2021 à Zurich

À partir de 2022, la Conférence centrale octroiera des fonds en vue de mettre sur pied un bureau de coordination œcuménique de l’aumônerie dans les services de santé et pour les activités d’aumônerie sur Internet. Cette décision ainsi que d’autres concernant les subsides financiers alloués aux institutions ecclésiastiques sur le plan national et régional figuraient au cœur de l’assemblée plénière de la Conférence centrale des 26 et 27 novembre 2021. En outre, Renata Asal-Steger a été réélue présidente à l’unanimité pour la période de mandat 2022-2023 ainsi que les cinq membres de la présidence de la Conférence centrale.

Communiqué de presse du 1er décembre 2021



Onglet